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200 _aL'incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage
_gtraduit du japonais par Hélène Morita
_fHaruki, Murakami
_fHélène, Morita
205 _a[Éd. en gros caractères]
210 _aCergy-Pontoise
_cÀ vue d'oeil
_dDL 2015
215 _a1 vol. (460 p.)
_d24 cm
225 _a16-17
_elittérature
330 _aDepuis le mois de juillet de sa deuxième année d'université jusqu'au mois de janvier de l'année suivante, Tsukuru Tazaki vécut en pensant presque exclusivement à la mort. À Nagoya, ils étaient cinq amis inséparables. L'un, Akamatsu, était surnommé Rouge ; Ômi était Bleu , Shirane était Blanche et Kurono, Noire. Tsukuru Tazaki, lui, était sans couleur. Tsukuru est parti à Tokyo pour ses études ; les autres sont restés. Un jour, ils lui ont signifié qu'ils ne voulaient plus jamais le voir. Sans aucune explication. Lui-même n'en a pas cherché. Pendant seize ans, Tsukuru a vécu comme Jonas dans le ventre de la baleine, comme un mort qui n'aurait pas encore compris qu'il était mort. Il est devenu architecte, il dessine des gares. Et puis Sara est entrée dans sa vie. Tsukuru l'intrigue mais elle le sent hors d'atteinte, comme séparé du monde par une frontière invisible. Vivre sans amour n'est pas vivre. Alors, Tsukuru Tazaki va entamer son pèlerinage. À Nagoya. Et en Finlande. Pour confronter le passé et tenter de comprendre ce qui a brisé le cercle. Après la trilogie 1Q84, une œuvre nostalgique et grave qui fait écho aux premiers titres du maître, La Ballade de l'impossible notamment. Traduit du japonais par Hélène Morita.
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_x1968-5068
_d2015
454 1 _tShikisai o motanai Tazaki Tsukuru to, kare no junrei no toshi
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
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_aMurakami
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